« Les mains d’argile » est un roman de Michel Lacombe, paru le 06 février 2025, aux éditions De Borée.

Début du XXe siècle. Fille d’un riche bourgeois propriétaire d’une fabrique de vases à Anduze, Louise est une jeune femme indépendante et passionnée par la sculpture. Grâce à son talent, elle partage ses gains généreux avec les ouvriers de son père.

Quand elle rencontre Marcellin, un fondeur de cloches à Lodève, elle cache leur amour à ses parents qui veulent la marier à un fils de bonne famille.

Dans Les mains d’argile, Michel Lacombe raconte l’histoire de personnages dont les vies sont étroitement liées à la terre et à l’artisanat cévenol. Entre secrets de famille, héritages et passions contrariées, le roman suit des destins qui s’entrecroisent et se confrontent aux contraintes sociales et aux bouleversements du temps. À travers leurs épreuves, l’auteur explore le courage, la transmission et le poids du passé, tout en peignant avec finesse les paysages et les traditions des Cévennes.

Michel Lacombe est romancier français. Après avoir exercé des métiers variés — ouvrier, dépanneur, livreur, guide de grotte — il s’installe dans le sud de l’Ardèche où il vit depuis plus de trente ans. Depuis la parution de son premier roman en 1999 (Éditions du Mot Passant), il se consacre entièrement à l’écriture de romans « du terroir », rencontrant le succès dès Le Retour au mas, récompensé par le Prix des Automnales en 2004.

Avis de lecture :

Brigitte Bouchet-Vieljeuf nous livre son avis sur, « Les mains d’argile » de Michel Lacombe, paru le 06 février 2025 , aux éditions De Borée.

C’est l’histoire de Louise « la belle Louise », qui au début du XX siècle vit à Anduze à côté d’Alais. Ses parents, Mr et Mme Bournaret sont des bourgeois, de riches industriels propriétaires d’une fabrique de vases.

Depuis sa naissance, Louise vit dans une bulle à l’écart des enfants, « du monde des autres » promise à un riche mariage.

Mais la « belle Louise » est obstinée, déterminée, elle veut vivre libre. Passionnée de dessin, petit à petit, à son rythme, elle devient une sculptrice reconnue.

Elle rencontre Marcellin Magnan, ouvrier fondeur de cloches et tombe éperdument amoureuse « qu’importe son rang social ».

La fin du roman est belle, pleine d’espoir…

A travers ce roman, on voyage, on découvre. Il s’adresse aux natifs des Cévennes mais aussi, aux nouveaux arrivants.

J’ai passé un agréable moment en lisant « Les Mains d’argile ».

Brigitte Bouchet-Vieljeuf, bibliothécaire à Saint-Julien-les-Rosiers.

Liens vers photos et biographie de l’auteur :

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https://www.babelio.com/livres/Lacombe-Les-Mains-dargile/1721119

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